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Fatima Anaflous, responsable de la recherche en basse vision
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Fatima Anaflous, responsable de la nouvelle Plateforme de recherche sur la réadaptation clinique

Temps de lecture: 3' Posté le

Madame Fatima Anaflous prend la tête de la nouvelle Plateforme de recherche sur la réadaptation clinique de l’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin.

Une plateforme de recherche dédiée à la basse vision

Nommée au 1er septembre 2023, Fatima Anaflous assurera la conduite de cette plateforme fraîchement créée au sein du Centre de recherche des sciences de la vue de l’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin. Tout en développant ses propres projets, elle participera aux études cliniques et expérimentales proposées par les médecins et les chef-fes de projets de recherche. Dans ce cadre, elle collaborera donc étroitement avec le Centre d’investigation clinique (CIC).

Un lien fort avec le service de réadaptation basse vision

Cette nouvelle plateforme de recherche bénéficiera d’une grande proximité avec le Service social et réadaptation basse vision. En effet, Fatima Anaflous y œuvrera également en qualité d’experte dans le domaine de l’orthoptique basse vision. Elle y assurera également des consultations spécialisées.

Une spécialiste reconnue du domaine

Après des études d’orthoptique, Fatima Anaflous s’est spécialisée dans le domaine de la basse vision. Elle travaille depuis 2014 à l’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin, au service social et réadaptation basse vision, centre de référence du canton de Vaud. La clinique et la recherche au service de l’autonomie des personnes aveugles et malvoyantes notamment la passionnent. Il lui a ainsi toujours tenu à cœur d’assurer le suivi des patient-es, tout en faisant le lien entre l’innovation et leurs besoins concrets. Ceci l’a amené à développer un solide réseau de spécialistes autour du handicap visuel dans différents domaines. Technologie haptique, intelligence artificielle et réalité virtuelle ne sont que quelques-uns des outils innovants au service de la personne en déficit visuel.

Une activité en réseau

Il faut savoir que la population « de niche » que représente les personnes en déficit visuel ne permet pas de réaliser des études d’envergure avec la patientèle d’une seule institution, même importante comme l’Hôpital ophtalmique de Lausanne. C’est pourquoi, la mise en commun des ressources et les collaborations à un niveau régional, national ou international sont les fondements du travail de Mme Anaflous. Ce constat l’a aussi amenée à participer à la création de la commission de recherche en basse vison de l’Union Centrale pour le Bien des aveugles (UCBA).

L’innovation en basse vision, une priorité de la recherche

« Nous nous réjouissons de pouvoir compter sur les compétences cliniques et scientifiques de Madame Anaflous pour la mise en œuvre de cette nouvelle plateforme », s’enthousiasme le Prof. Thomas J. Wolfensberger, chef du service universitaire d’ophtalmologie. « Nous sommes convaincus qu’elle pourra contribuer efficacement à nos projets d’innovation en basse vision ». Le domaine est en effet l’un des piliers de la stratégie de recherche de l’Hôpital ophtalmique Jules-Gonin.

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